Dans le cadre de la Semaine d’actions contre le racisme au Québec, le Festival Accès Asie s’engage pour sa 4e édition dans la lutte antiraciste par les arts avec Confrontons le racisme ensemble (CRE).
Pour l’édition 2025, en partenariat avec Tangente, Centre KAPWA et Soft Gong, le festival célèbre la fierté en mettant l’accent sur la créativité, l’engagement communautaire et la reconnaissance comme stratégies antiracistes, tout en conservant les approches festives de l’édition précédente.
Ce projet est né en 2022 de la montée du racisme anti-asiatique pendant la pandémie, en collaboration avec le collectif Super Boat People.
Le Festival Accès Asie remercie Patrimoine canadien de son soutien.
Cette série de 5 ateliers propose aux nouveaux DJ et à ceux qui souhaitent consolider leurs bases d’apprendre les fondements du DJing. Ce parcours complet vous donnera les clés et l’état d’esprit nécessaires pour évoluer, quel que soit votre niveau ou vos objectifs.
Au programme: compétences techniques et pratiques, savoir-faire théorique et développement de votre identité sonore. Découvrez et maîtrisez les bases du DJing, de la constitution de listes de lecture (crate building) à la recherche musicale, en passant par le beatmatching, les points de repère (cue points), le scratching, le repérage (cueing), le looping, l’intégration d’échantillons et le blending.
Le parcours culminera avec une performance live lors de la soirée d’ouverture de PIÑA, le 27 mars 2025, une célébration où l’art du DJing se mêlera à celui du tissage. Tout comme la fibre piña, qui tisse des liens, le DJing superpose et entrelace des sons pour offrir une expérience sonore immersive et unique.
Pour qui?
Cet atelier est idéal pour les personnes curieuses d’explorer le DJing, celles qui ont déjà débuté mais qui aimeraient renforcer leurs bases, ou celles qui souhaitent se lancer sans savoir par où commencer. Tous les niveaux de connaissance et de compétence sont les bienvenus. Nous encourageons vivement les jeunes personnes de la communauté philippine à s’inscrire à ces ateliers, qui mettent en valeur les talents de la diaspora.
Conditions
bibim ㅂㅣㅂㅣㅁ – rétrospective de poche de kimura byol lemoine – ouvre sur un court métrage en super 8mm réalisé en 1988, année marquante des Jeux Olympiques de Séoul pour l’artiste.
Après une longue pause de deux décennies, kimura kyol lemoine reprend son exploration audiovisuelle au Canada, pays où iel·.le (sans s) choisit de s’installer. À travers ses œuvres percutantes, l’artiste interroge les questions d’origines, d’identité, d’appartenance et de transmission intergénérationnelle, tout en abordant les enjeux politiques et culturels de l’adoption transnationale.
Sans se conformer aux conventions de l’art traditionnel, kimura byol lemoine crée des vidéos ‘coup de poing’, exprimant des expériences intimes et des réalités complexes qui entourent son parcours.
Conversation par Dédé Chen
Suite à la projection bibim ㅂㅣㅂㅣㅁ – rétrospective de poche de kimura byol lemoine – un dialogue autour de l’oeuvre éminemment TRANS de kimura byol sera guidé par Dédé Chen.
“TRANS-” Préfixe qui donne le sens de passer d’ici à là, passer à travers, passer outre, être au delà. Comment ce mouvement s’articule dans son art et son activisme depuis 30 ans ? Que ce soit entre des langues, des médiums, des pays, des genres, son travail traverse les frontières et déconstruit les normes. Enfin, cette conversation abordera les angles morts et les nouvelles limites à transgresser relatives à chaque époque. Comment construire une courroie de transmission intergénérationnelle et une conscience politique en contexte diasporique?
Position hybride de Dédé Chen : modératrice et artiste adoptée activiste, co-fondatrice de Soft Gong
Après une mini fiesta avec karaoké et bouchées philippines, assistez à la première québécoise de PIÑA, un spectacle de danse de FakeKnot. Inspirée par l’expérience de son directeur artistique Ralph Escamillan en tant que Philippin né au Canada, l’œuvre dresse un parallèle entre ce vécu et le piña, un tissu traditionnel philippin fait de feuilles d’ananas. Ce textile à la fois délicat et résistant reflète la fragilité et la force des peuples de la diaspora. En invitant le public à explorer les diverses facettes de ce tissu culturellement riche, l’œuvre devient un véritable voyage anthropologique. Les costumes modulaires se transforment au fil du spectacle tout en limitant les mouvements des quatre danseurs, créant un effet insolite. Le tissu, d’un blanc immaculé, reflète la lumière, faisant luire les figures comme si elles étaient faites de piña. En incorporant la danse et la musique folklorique, PIÑA explore le corps comme porteur d’histoire et d’héritage dans un monde en pleine globalisation.
AVERTISSEMENT: Le spectacle comporte des effets stroboscopiques.
27, 28, 29 mars 2025 – 19h (mini fiesta dès 18h)
30 mars 2025 – 16h (mini fiesta dès 15h)
La mini fiesta est une soirée karaoké avec bouchées philippines animée par l’équipe de PIÑA
Discussion avec les artistes le 28 mars
Crédits
Cette petite exposition met en vedette le célèbre tissu philippin fait de feuilles d’ananas auquel PIÑA doit son titre. Elle présente de longs pans de tissu, montre les différentes étapes de la préparation des feuilles d’ananas, ainsi qu’un extrait d’un documentaire sur la fabrication du textile aux Philippines. L’exposition sert de compagnon au spectacle, dont les mouvements précis font écho à la méthode traditionnelle utilisée pour produire manuellement ce tissu.
Horaires d’ouverture
27, 28, 29 mars 2025 – de 18h à 21h au Café-bar
30 mars 2025 – de 15h à 18h au Café-bar
Avec le soutien de Conseil des arts du Canada, Conseil des arts de la Colombie-Britannique, Ville de Vancouver, programmes culturels Woodward’s de l’Université Simon Fraser, programme d’artiste en résidence du Dance Centre, Toronto Dance Theatre, Far Eastern University (Manille), Dance Victoria, Vancouver Asian Canadian Theatre
PIÑA est une production de FakeKnot et une coproduction du Centre national des Arts.
Danah Rosales, également connue sous le nom de Maldita Siriano (she/her/siya), est une millenial queer basée à Tkaronto, une Canadienne-Filipinx de deuxième génération, une fille, une soeur, une maman solo de deux petits êtres humains, une motha légendaire de la kiki house of siriano et une artiste de la danse mise en nomination aux prix Dora dont le travail englobe la construction d’une communauté active, l’enseignement, la chorégraphie collaborative et interdisciplinaire, et la performance. Danah émerge en tant que chorégraphe, amenant les arts de la danse sur scène avec des œuvres spécifiques au ballroom qui ont été présentées par Fall for Dance North et Toronto Dance Theatre. Elle est également coprésidente de la Toronto Kiki Ballroom Alliance.
Basée à Tiohtià:ke/Montréal, Dédé Chen (elle) est autrice et réalisatrice; son travail explore la performance de la filiation. Après des études en anthropologie et en relations internationales, elle développe une pratique d’écriture mêlant poésie et politique, abordant des thèmes tels que la violence sexuelle, le corps-territoire et l’archive. En 2024, elle co-édite Les Asiatitudes, la première anthologie francophone d’auteurices issu·es des diasporas asiatiques au Québec. Ses œuvres d’autofiction sont publiées dans plusieurs revues littéraires. Son premier court-métrage Papaya (2022) est présenté en première au Toronto Reel Asian Film Festival et remporte le prix Coup de cœur au Festival Accès Asie ainsi qu’une mention honorable aux Festivals Filministes et Vancouver Festival of Recorded Movement. Ayant grandi entre le Saguenay et Québec, Dédé Chen ressent le besoin de se reconnecter avec sa communauté d’origine en milieu urbain et de faire entendre la voix des personnes adoptées. En 2021, elle co-fonde Soft Gong, la première organisation francophone dédiée aux adopté·es de Chine.
Denisa Reyes compte à son actif une impressionnante série d’œuvres allant du ballet classique à la danse moderne et contemporaine, en passant par la comédie musicale, la vidéo et la danse, la réalisation et la production de documentaires sur la danse et de longs métrages. Ancienne membre de Ballet Philippines, Denisa a obtenu un baccalauréat en danse avec mention à l’Université d’État de New York (SUNY) et a rejoint plusieurs compagnies de danse moderne pendant son séjour à New York. Pendant les neuf années où elle a été directrice artistique de Ballet Philippines, elle a lancé la Neo-Filipino Dance Series, sa contribution la plus importante à la danse contemporaine philippine. Cette série a servi de plateforme aux chorégraphes philippins pour faire de la danse la force centrale, l’impulsion, le muscle de la collaboration avec les autres formes d’art: la musique, les arts visuels, la littérature, le théâtre et le cinéma. En tant que professeure de danse, chorégraphe et metteuse en scène, Denisa a collaboré avec Tanghalang Pilipino, le Philippine Ballet Theatre, la Philippine Educational Theatre Association, Actors’ Actor Inc, Repertory Philippines et le CCP Virgin Labfest. Elle a reçu des subventions de la Commission nationale philippine pour la culture et les arts pour mener des ateliers chorégraphiques régionaux aux Philippines.
Elyza Samson (elle) est une artiste de danse interdisciplinaire philippine basée à Vancouver, en Colombie-Britannique, sur les territoires non cédés des Premières Nations Musqueam, Squamish et Tsleil-Waututh. Elle a suivi le programme de diplôme en danse d’Arts Umbrella et détient un baccalauréat en beaux-arts de l’Université Simon Fraser. Parmi ses expériences professionnelles, on compte A Midsummer Night’s Dream (Bard on the Beach, 2022) et Attuning Flesh and Bone (projet de thèse de Tin Gamboa, SFU, 2022). S’intéressant à l’exploration de l’intersection entre le mouvement et le film, Elyza aspire à transformer l’art simple et subconscient de «regarder les gens» en mouvement (gestuel) dans sa propre pratique de la danse. Inspirée par son récent voyage aux Philippines, elle a trouvé le trafic dense et les schémas de déplacement à pied visuellement fascinants. Elle envisage de jouer avec cette topographie pour la transposer en flux de mouvement. Elyza est ravie et reconnaissante de travailler aux côtés de l’équipe de FakeKnot et est impatiente d’approfondir l’exploration de son héritage philippin à travers la danse.
Fly Lady Di (Diana Reyes) est une femme aux multiples talents et facettes née à Toronto, connue pour son travail de peintre, de danseuse et de DJ active depuis 20 ans. Elle a mixé pour Dior, Tiffany & Co, Twitter, Bastid’s BBQ (Toronto), Jay-Z’s D’Usse Cognac, Rihanna’s Fenty, les Maple Leafs de Toronto et eBay, entre autres. Elle attribue la plupart de ses goûts musicaux à ses années de danse au début des années 2000 à New York, où elle fait vibrer l’industrie et les clubs house underground. Di est une DJ multigenre, mais elle revendique le hip-hop et le R&B de l’âge d’or comme sa spécialité, ainsi que la soulful house et le dancehall classique.
Gabriel Raminhos est titulaire d’un baccalauréat en beaux-arts du programme de production et de conception théâtrale de The School for the Contemporary Arts SFU. Il est directeur technique, directeur de production, concepteur d’éclairage, régisseur, technicien et membre de la section locale 118 de International Alliance of Theatrical Stage Employees. Il a été concepteur d’éclairage associé pour THIS & The Last Caribou (New Dance Horizons, PuSh 2023); directeur technique et régisseur pour The Outliner (Mascall Dance); concepteur d’éclairage pour Longing de Vidya Kotamraju (VIDF 2021). En outre, il a travaillé sur quelques projets cinématographiques en tant qu’électricien et caméraman, et il est codirecteur technique et gestionnaire des installations aux KW Studios.
Canadienne d’origine philippine, Jill Laxamana travaille dans la mode depuis 2002. Principalement axée sur la confection de vêtements de mariée et de soirée sur mesure, ses compétences en matière de détails de couture et de coupe jouent un rôle important pour traduire les visions de Ralph du concept à la pièce. Depuis 2020, ils ont collaboré sur de nombreux projets, notamment whip et BLUSCRN, chacun offrant des défis et des idées uniques qui lui permettent d’évoluer et de grandir en tant qu’artiste. Pour PIÑA, ils ont également travaillé avec July Nieto, une artiste philippine, s’inspirant de leur héritage culturel commun pour créer un élément visuellement dynamique qui complète chaque mouvement.
Artiste de danse autonome canado-filipinx de deuxième génération, Justin Calvadores (iel) habite à Vancouver, en Colombie-Britannique, sur les terres des Premières Nations Squamish, Tsleil-Waututh et Musqueam. Après avoir obtenu son diplôme du programme de danse Arts Umbrella, Justin rejoint le Ballet BC comme stagiaire en 2017-2018 sous la direction d’Emily Molnar, avant d’intégrer le Ballet Edmonton en 2019 sous la direction de Wen Wei Wang et Karissa Berry. Parmi les compagnies avec lesquelles l’artiste a collaboré, mentionnons Dumb Instrument Dance, Mile Zero Dance, Inverso Productions, Wen Wei Dance et FakeKnot. Sa démarche est axée sur sa double identité queer et canado-filipinx. La danse est son catalyseur pour enrichir sa perception du monde, et la pratique d’une danse incarnée ainsi que l’autodétermination sont ses principales motivations.
Kayleigh Sandomirsky est régisseuse, directrice de production, productrice, programmatrice et interprète. Celle qui aime faire bouger la scène artistique s’est lancée depuis peu dans la conception et la construction. Récemment, elle a tourné avec les productions 003_playback de Caroline MacCaull (Chimerik), BLUSCRN (FakeKnot), New Societies (Re:Current Theatre), Ying Yun (Wen Wei Dance), et Departure (The Falling Company). Elle a aussi contribué à titre de directrice de production à plusieurs spectacles, dont Family Room (The Falling Company) et Dancing to Remember (Aeriosa Dance et Butterflies in Spirit). Elle a notamment été à la régie de Black and Rural (Pi Theatre), Matriarchs Uprising et Maamawi (O.Dela Arts), Double Happiness: Detour This Way (Nancy Tam et Robyn Jacobs), The Array (UpintheAir Theatre), The Sun and the Moon (Crimson Coast Dance), In Response to Alabama (Little Thief Theatre), et Kwê (Jeanette Kotowich et un collectif d’artistes). Comme programmatrice, on lui doit deux éditions du Festival rEvolver (en présentiel) et deux éditions du Festival eVolver (en ligne) avec le UpintheAir Theatre, et l’édition 2022 de la série d’entrevues du Peek Fest de l’Impulse Theatre.
Kimmortal alias Kim (they/them) est un·e artiste et musicien·ne à plusieurs traits d’union. Iel est colon de deuxième génération qui a grandi à Surrey et qui vit actuellement sur les territoires traditionnels non cédés des nations Musqueam, Squamish et Tsleil-Waututh. Ses ancêtres sont originaires de Pangasinan et de Negros Occidental, aux Philippines. La présence de son dernier album, X marks the Swirl, sur la liste longue du prix Polaris a été annoncée par Buffy St. Marie et son dernier morceau est un titre autoproduit, «This Dyke», qui a été diffusé dans l’émission The L Word: Gen Q. PIÑA est sa première occasion de produire l’ensemble de l’environnement sonore d’une production contemporaine.
kimura byol lemoine (iel·le), artiste multimédia et commissaire, développe une pratique artistique qui se distingue par son ampleur et sa diversité. Son travail visuel, ses poèmes/essais et ses vidéos courtes ont été présentés dans le cadre d’expositions individuelles et collectives à l’international. Sa démarche, à la croisée de l’art et de l’activisme, s’apparente à un archivage militant et se déploie à travers plusieurs formes : calligraphie, photographie, peinture, poésie et vidéo. Né·e en Corée du Sud et adopté·e en Belgique, l’artiste a passé plus de dix ans à se réapproprier son identité coréenne avant d’immigrer à Tiohtiá:ke/Montréal, où iel·le est devenu·e un·e acteurice actif·ive dans les milieux artistiques queer et féministes. Ce parcours, marqué par des expériences sur plusieurs continents, témoigne d’une recherche incessante de nouvelles formes d’expression et de communication à travers des médiums variés et leurs multiples potentialités.
Ralph Escamillan est un artiste de la scène, un chorégraphe et un enseignant queer, canadien-filipinx, établi à Vancouver, en Colombie-Britannique. Ralph a commencé sa formation dans les danses de rue et est diplômé de Modus Operandi, un programme de danse contemporaine basé à Vancouver. Il a dansé, fait des tournées et créé avec des compagnies de Vancouver, participé à des films et des émissions de télévision, et est devenu un phare pour la scène de ballroom de Vancouver depuis 2017 grâce à son autre organisme à but non lucratif, VanVogueJam. En tant que directeur artistique de FakeKnot, il développe des performances collaboratives qui ont été présentées à l’échelle nationale et internationale. Ayant des racines ancestrales aux Philippines, il est fasciné par les recherches sur ce que signifie être Nord-Américain, en particulier dans le contexte des traditions culturelles, de la danse, de la musique et des costumes dans une communauté mondiale de plus en plus interconnectée. L’exploration de la façon dont la culture est créée par l’accumulation d’idées et de concepts est au centre de son travail. Il a découvert que le corps est un puissant vaisseau à travers lequel ces idées peuvent être étudiées, en incorporant la musique, les costumes et les nouveaux médias.
Premier organisme de diffusion spécialisé en danse au Québec, actif depuis 1980 et dénicheur de chorégraphes émergent·es, Tangente offre une programmation de danse contemporaine de septembre à mai. Chaque soirée de spectacle est une expérience singulière qui s’ouvre sur l’expérimental et l’interdisciplinaire. Leurs deux salles intimes à géométrie variable dans l’ÉDIFICE WILDER – Espace danse leur permettent d’assurer la présence de l’avant-garde et de la scène alternative au centre-ville de Montréal.
FakeKnot est à l’origine d’œuvres chorégraphiques collaboratives qui explorent la complexité de l’identité et de la culture par l’entremise du costume, du son, de la technologie et du mouvement. FakeKnot s’inspire de techniques de danse commerciale, contemporaine et de rue qui font honneur à l’identité queer et asiatique de son directeur artistique Ralph Escamillan. La collaboration en tant que pratique de cocréation de connaissances est essentielle pour FakeKnot, car elle nous rapproche malgré nos différences.
À l’issue du Mois des Adopté·es et en réaction à la montée du racisme anti-asiatique exacerbé pendant la pandémie, le Collectif Soft Gong 软双恭 a été fondé en 2022. Ce collectif rassemble des artistes et des chercheur·euses qui partagent une identité commune : être adopté·e de la Chine au Québec (Canada). Le collectif se donne pour mission de bâtir un pont socioculturel entre leur terre d’adoption, le Québec, et leur pays d’origine, la Chine. Depuis 1990, le Québec compte environ 7000 adopté·es chinois·es, et plus de 110 000 sont dispersé·es à travers 14 pays occidentaux. C’est pour répondre aux besoins spécifiques de cette communauté que le collectif a vu le jour.
Les objectifs du Collectif Soft Gong sont les suivants :
Plus d’informations sont disponibles sur leur site officiel : Soft Gong.
La maison de la culture de Côte-des-Neiges présente des films, concerts, spectacles et expositions. Elle est dotée d’une salle de spectacle de 135 places et de 3 salles d’exposition. L’entrée est gratuite. Située dans le même bâtiment que la bibliothèque de Côte-des-Neiges, elle présente chaque année près de 80 spectacles et une vingtaine d’expositions.
Danah Rosales
Dédé Chen
Denisa Reyes
Elyza Samson
Fly Lady Di
Gabriel Raminhos
Jill Laxamana
Justin Calvadores
Kayleigh Sandomirsky
Kimmortal
kimura byol lemoine
Ralph Escamillan